Don’t Worry Darling
- Modifié le 09/11/2022
Les températures descendent un peu ces temps-ci, donc direction le désert de Don’t Worry Darling !
Synopsis de Don’t Worry Darling
Dans une petite banlieue américaine en plein désert dans les années 50, les habitants d’un quartier vivent la même routine. Les hommes partent travailler, tandis que les femmes s’occupent du foyer. C’est dans ce contexte, qu’Alice et Jack vivent le parfait amour. Mais cette perfection semble cacher quelques failles. Alice se pose de plus en plus de questions sur le projet dans lequel son mari s’implique…
Don’t Worry Darling (Bande-Annonce)
Mon avis rapide sur Don’t Worry Darling
Sans pour autant être le thriller mystérieux de l’année, j’admets que Don’t Worry Darling propose une histoire intrigante. La longueur du film ne nous submerge étonnamment pas d’éléments questionnables. Elle nous offre même des réponses intéressantes. Néanmoins, le scénario aurait pu mieux traiter quelques détails. Cela aurait permet ne pas dénoter avec l’ambiance, que pourtant la photographie maintient avec soin. Heureusement, le duo d’acteurs principal nous captive jusqu’au bout.
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Mon avis détaillé sur Don’t Worry Darling
Exactement comme je l’espérais, Don’t Worry Darling m’intrigue fortement. Grâce notamment à la dose de mystère, que je trouve très correcte. En effet, je craignais que le suspens dure éternellement, sans pour autant avoir de réponses à la fin (comme The Lighthouse, qui m’avait déçu pour ça, justement) On aborde au passage plusieurs thèmes pertinents, notamment sur le patriarcat. Néanmoins, quelques éléments, surtout dans la dernière partie, restent peu détaillés. Ce qui les rend un peu incohérents ou bâclés.
Ensuite, malgré une musique étrange pour faire étrange, la photographie soignée offre de belles images. Elle réussit à contraster entre la vie de rêve et le malaise qu’endure l’héroïne.
Cette dernière permet d’ailleurs à Florence Pugh de prouver de nouveau son talent incroyable. Puisqu’elle revient dans un rôle de psychose à la Midsommar (à ce propos, il s’agit là de la raison pour laquelle la réalisatrice Olivia Wilde a casté Florence Pugh pour Don’t Worry Darling) Ce que j’aime dans ce style de personnage, c’est sa quête de vérité : elle ne fait pas que subir, elle cherche à s’en sortir en réfléchissant.
Concernant le personnage secondaire, j’apprécie beaucoup l’étonnant Harry Styles, qui propose une prestation convaincante. Le célèbre chanteur qui a le vent en poupe (qu’on a pu déjà voir dans Dunkerque et vite fait dans Les Éternels, dans lequel on retrouve aussi Gemma Chan), arrive une nouvelle fois à pleinement captiver l’écran.
Quant au reste du casting de Don’t Worry Darling, je reviens juste sur Nick Roll, que je trouve marrant de voir en tant qu’acteur. En effet, le créateur de la série Big Mouth est plutôt habitué à prêter sa voix pour des personnages de films d’animation. On a pu notamment l’entendre (en VO) dans Tous en Scène 1 & 2, La Famille Addams 1 & 2 ou encore Sausage Party.
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Informations sur le film :
