

Violent Night
Mon avis rapide
Violent Night propose exactement ce qu’on est venu chercher : un Père Noël badass qui démolis des méchants. Le synopsis pourrait prêter à sourire et c’est le cas. Néanmoins, le film sait ce qu’il veut raconter et envoie des scènes d’action puissantes et efficace. Voir ces bastons saupoudrées de mythes de Noël nous satisfait pleinement. On ne s’ennuie pas et certains rebondissements peuvent même surprendre.
Ma note

Visionnage
Sorti le 30/11/2022
Vu le 13/12/2022
Titre : Violent Night
Réalisation : Tommy Wirkola
Scénario : Josh Miller, Patrick Casey
Nationalité : Américain
Synopsis
Durant la nuit de la veille de Noël, des terroristes attaquent la riche famille des Lightstone. Au même moment, le Père Noël, alcoolique et désabusé, fait sa tournée habituelle. Ce que les méchants ne savaient pas, c’est que le barbu en habits rouges est prêt à en découdre…
- Modifié le 30/01/2025
Dans Violent Night, on se rend compte que le père noël peut mettre des mandales.
Violent Night est très divertissant et offre de nombreux moments de plaisir. Les scènes de combat sont particulièrement bien filmées et bien vénères. La réalisation de Tommy Wirkola (Seven Sisters) arrive à nous tenir en haleine tout du long.
Quant à l’intrigue, elle offre de bons setups / payoff, ainsi que des rebondissements sympathiques.
Les quelques facilités et incohérences dans l’histoire ne gâchent pas vraiment le plaisir de visionnage. Puisque Violent Night ne donne pas moins que ce que le spectateur est venu chercher, à la manière de Nobody.
De plus, la narration intègre ludiquement les mythes de Noël, tout comme les sous-intrigues familiales pas trop mal ficelées. Cela lui fait gérer beaucoup de personnages, donc on ne s’attarde pas non plus profondément sur chacun.
La star de Stranger Things, David Harbour (vu aussi dans Black Widow et dans le reboot ahurissant d’HellBoy) fait du très bon travail dans cette image renouvelée du Père Noël badass. On découvre en effet une origin story originale, avec une touche nordique à la The Northman.
Ou encore, John Leguizamo, toujours aussi marrant depuis le film Le Menu. Tandis qu’à l’inverse, on peut noter le jeu trop lisse par rapport aux autres d’Alexis Louder.