Transformers Le Commencement

Comme mentionné dans l’introduction, j’ai eu la chance de visionner des mois en avance Transformers Le Commencement. C’était à l’occasion du Festival d’Annecy 2024, une des toutes premières séances événement. Pour le coup, on n’avait le droit à aucun téléphone dans la salle. On devait mettre tout appareil d’enregistrement dans une enveloppe en aluminium.

Sur scène, Lorenzo Di Bonaventura et Ramsey Naito, sont venus présenter la séance. Ainsi que le réalisateur Josh Cooley (celui de Toy Story 4). La version du film n’était pas tout à fait finale.

En tout cas, la bande-annonce me faisait un peu peur, je vous l’avoue. D’ailleurs, à l’occasion, j’ai suivi tout le délire du trailer diffusé dans l’espace. Eh bien pour le coup, à l’instar de Kung-Fu Panda 4, je l’ai trouvé moins relou que je ne le pensais. Car l’humour se dilue bien plus que ce que les extraits voulaient nous faire croire.

Ensuite, c’est déjà très rafraichissant de retrouver les robots sur Cyberton. C’est clairement le film que je voulais voir quand j’ai visionné l’introduction de BumbleBee. D’autant que malgré les annonces de Work In Progress, les rendus étaient déjà très beau à l’époque. Bon, ok, quelques scènes n’avaient clairement pas l’animation finale. Mais cela était amusant à voir. En tout cas, le film semblait bien plus fini que Ninja Turtles en 2023 (alors qu’il sortait bien plus tôt)

Enfin, le final de Transformers Le Commencement est épique comme jamais. Notamment grâce à l’ambiance électrique de la salle, remplie de fans en partie. Le fan-service fonctionne bien car il est savamment orchestré, dans ce pur film d’action en continue.