Les Animaux Fantastiques : Les Secrets de Dumbledore
- Modifié le 30/08/2022
Histoire de casser la routine, je me suis pris une place pour Les Secrets de Dumbledore en ScreenX. En plus, j’ai assisté à une séance littéralement privée, puisque, comme pour le dernier Ghostbusters, j’étais tout seul !
Synopsis de Les Animaux Fantastiques : Les Secrets de Dumbledore
Grindelwald continue son ascension, pour mettre en place sa guerre contre les Moldus. Son ancien ami Albus Dumbledore ne peut le combattre à cause d’un sortilège. Il demande alors de l’aide à Norbert Dragonneau et ses amis. Mais comme Grindelwald a la faculté partielle de voir l’avenir, il va falloir ruser pour le duper…
Mon avis rapide sur Les Animaux Fantastiques : Les Secrets de Dumbledore
Les Secrets de Dumbledore continue sur sa lancée de moins parler des animaux fantastiques et de plus se lier à Harry Potter. On se raccroche tant bien que mal à quelques bons éléments, comme l’enrichissement de l’univers magique ou les effets numériques stylisées.
Mais hélas, cet épisode peine à se rendre utile, à cause de nombreux passages à vide. Ce manque de situations vraiment épiques rend ces 2h20 oubliables.
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Mon avis détaillé sur Les Animaux Fantastiques : Les Secrets de Dumbledore
Avec Les Secrets de Dumbledore, on s’éloigne toujours plus de l’aspect Pokémon Go du tout premier volet. Cela dit, on retrouve heureusement quelques animaux fantastiques ancrés dans l’histoire. Les créatures sont toujours aussi mimis, les anciennes comme les nouvelles.
Aussi, un aspect que j’apprécie dans cette nouvelle saga autour du monde des magiciens, c’est son exploration internationale. En effet, on découvre de nouveaux lieux en dehors de Poudlard, comme en Allemagne et au Bhoutan. Cela enrichit l’univers, qu’on a envie de visiter dans d’autres spin-off. De plus, beaucoup d’effets numériques qui retranscrivent la magie des sorciers, apportent de beaux visuels à l’écran.
Niveau casting dans Les Secrets de Dumbledore, je suis content de revoir Oliver Masucci, que j’ai eu le plaisir de découvrir dans l’incroyable série Dark. Ensuite, je ne passe évidemment pas à côté du changement de Grindelwald. J’aimais beaucoup le design de Johnny Depp, mais hélas, il faut faire avec Mads Mikkelsen. Non pas qu’il le fasse mal, au contraire, puisqu’il apporte une bonne arrogance. Disons, qu’il se fond plus dans la masse de méchants habituels. Surtout que le scénario ne justifie pas ce changement physique. Autant Alice David dans Bon Dieu 3, qui remplace Julia Piaton, ça passe, car il y a 4 filles en personnages principaux. Autant là, on a un méchant charismatique au centre de l’intrigue, c’est gênant. Surtout qu’il peut changer d’apparence, comme on a pu le voir dans le tout premier volet. Il aurait suffi de l’évoquer en une phrase et c’était plié.
En tout cas, le réel problème dans Les Secrets de Dumbledore, concerne l’ambiance beaucoup moins épique que ses prédécesseurs. Certains passages me paraissent mous, manquent de vrais enjeux ou prennent trop de temps pour ce qu’ils racontent. Ce qui par la suite, pour dire concrètement les choses, rend ce volet totalement oubliable. En effet, cet épisode quasiment inutile ferme rapidement des arcs narratifs à peine entamés à la fin des Crimes de Grindelwald. Par exemple, l’intrigue sous-exploite Croyance, elle ne sait plus trop quoi en faire (on sent que c’est la fin pour lui, scénaristiquement parlant) Enfin, si c’était juste pour rapprocher Grindelwald et Dumbledore, comme l’évoque la Saga Harry Potter, cela ne méritait pas 2h20. Heureusement, le ScreenX ravive un peu l’intérêt de le voir en salle, mais ça reste quand même très gadget (j’ai préféré cette technologie dans En Eaux Troubles)
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