Companion

Très étonné que Companion ait bénéficié d’une programmation IMAX. Mais moi, je prend, il n’y a pas de souci !

Avant de vous parler de Companion, je voulais juste revenir sur une petite anecdote amusante en lien avec la séance. À cause d’un contretemps de dernière minute, je suis arrivé en retard au ciné. Mais le plus drôle est que j’ai débarqué dans la salle à un moment insolite. Croyez-le ou non, je suis arrivé lorsque Kat accueille les protagonistes en leur faisant remarquer leur retard. Je trouve le timing assez drôle, ce qui m’a mis par la suite dans de bonnes conditions pour profiter.

Et pour le coup, j’ai trouvé le film fun, rafraîchissant et plutôt surprenant. En effet, l’intrigue comporte beaucoup de rebondissements, elle laisse pas mal de surprises. Concrètement, à aucun moment je ne savais vraiment où ça allait, mais dans le bon sens du terme. C’est-à-dire que j’étais curieux de connaître la suite, car mes prédictions tombaient à l’eau à chaque instant.

De plus, au début, on peut apprécier une double histoire qui se recoupe par la suite. Même plus que ça, ils arrivent à réutiliser des éléments qu’ils ont posé durant l’histoire. Et ça fait plaisir.

Au niveau du casting de Companion, je trouve Sophie Tatcher (aperçue dans MaXXXine) parfaite. Notamment avec son sourire qui glace le sang. De même, Jack Quaid (Rampage , Oppenheimer, The Boys)maîtrise le mec gentil en apparence mais qui peut vite créer des problèmes.

D’autant qu’au final, le film ne parle pas tant que ça de l’IA, comme pourrait le suggérer la bande-annonce. Cela aurait pu aussi aborder les relations para-amoureuse. Alors qu’il s’agit plus d’une bonne allégorie sur les relations toxiques. On est loin de la romance poétique.

Le seul bémol de la séance était que malgré la salle peu remplie, on a réussi quand même à tomber sur deux personnes relous. Du genre qui parlent comme dans leur salon et qu’on entend à l’autre bout de la salle…