The King’s Man : Première Mission
- Modifié le 30/08/2022
Je reprends l’IMAX avec The King’s Man, le dernier film de 2021 qu’il me restait à voir !
Synopsis de The King’s Man : Première Mission
Alors qu’un complot mondial menace le Royaume-Uni et l’Europe, le Duc d’Oxford semble bien décidé à stopper ces tyrans. À l’aide de son fils Conrad, ainsi que de ses proches collaborateurs, Polly et Shola, il va mettre en place une contre-attaque dans l’ombre…
Mon avis rapide sur The King’s Man : Première Mission
Pour ce 4e ciné du 1er weekend de 2022, je finis sur du bon contenu. Je l’ai apprécié pour son inventivité, aussi bien scénaristique que visuelle. De plus, The King’s Man a beau ne pas reprendre la recette de comédie d’action, ses personnages restent suffisamment intéressants pour qu’on les suive. La longueur du film se ressent, mais elle rend cette préquelle solide et compréhensible.
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Mon avis détaillé sur The King’s Man : Première Mission
Oubliez l’ADN des comédies d’action, car The King’s Man raconte une histoire d’espionnage de guerre assez terre-à-terre. On se prend méchamment les 2h11 d’aventure, sans avoir de lien explicite avec ce qu’on connaît de Kingsman au cinéma. Il faut attendre un bon bout de temps pour faire la liaison avec les précédents films, et surtout l’agence iconique. Néanmoins, cela démontre qu’ils n’ont pas rushé cette préquelle, car elle propose du contenu intéressant.
Ce qui me plaît le plus en premier lieu, concerne l’uchronie. En effet, les événements fictifs de The King’s Man : Première Mission reprennent partiellement le déroulé de la 1ère Guerre Mondiale. Je trouve les raccords inventifs et bien mêlés à l’univers des espions anglais. De plus, j’ai été surpris par certains éléments scénaristiques.
Ensuite, on retrouve tout de même certains passages dignes de Kingsman. J’entends par là des situations décalées et misant sur le spectacle. Elles se font rares, mais rajoutent une touche d’originalité à ce genre de film.
Enfin, la réalisation dynamique et calibrée de Matthew Vaughn se reconnaît, notamment sur plusieurs idées de montage sympa. Elles redynamisent l’intrigue de The King’s Man dans des passages où l’on pourrait décrocher. Le long-métrage rester ainsi digeste, malgré ses longueurs.
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