Godzilla (1954)
- Modifié le 13/11/2024
Je découvre enfin le Godzilla de 1954 ! L’original, le vrai, celui où tout à commencé !
Synopsis de Godzilla (1954)
Des bateaux disparaissent de façon mystérieuse dans la baie de Tokyo. Les scientifiques et la presse s’associent pour chercher d’où cela peut venir. Et il s’avère qu’il s’agit d’un immense lézard radioactif qui menace de détruire la capitale nippone…
Godzilla (1954) (Bande-Annonce)
Mon avis rapide sur Godzilla (1954)
Je suis très heureux d’avoir enfin découvert Godzilla de 1954. Qui plus est sur un écran de cinéma et présenté par Fabien Mauro. Cet épisode originel montre déjà les prémices de ce qui fera la marque de fabrique de la gigantesque saga. À savoir une menace impressionnante pour parler de sujets profonds sur l’Humanité.
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Mon avis détaillé sur Godzilla (1954)
À l’occasion des 70 ans de Godzilla, la Maison de la Culture du Japon à Paris a proposé, sur l’initiative de Fabien Mauro, une rétrospective sur les Kaijus. Dont Godzilla de 1954 restauré en 4K en ouverture. Car en effet, le tout premier film est sorti au Japon le 3 novembre 1954 (et le 15 mars 1957 en France). Ce qui fait de cette date le Godzilla Day. D’ailleurs, nous avons eu pour l’occasion une super intro avec un beau logo.
Une fois n’est pas coutume, c’est ce cher Fabien qui nous a présenté le film, aux côté de Ryo Inoue (le directeur de la communication de la MCJP). Il nous ainsi raconté la génèse du projet, qui a par la suite révolutionné le cinéma.
J’étais explosé car je venais de recommencer à travailler en présentiel. Donc j’ai perdu l’habitude et l’énergie, mais j’ai réussi à tenir ! Je ne pense pas avoir raté quoique ce soit.
Alors pour le coup, la restauration 4K ne pardonne pas et les effets spéciaux ont vieillit. Que ce soit les maquettes ou les câbles, on sent que c’était une autre temps, bien qu’il a fallu passer par là pour avoir ce qu’on a aujourd’hui. De plus, le jeu des acteurs est plutôt typique de l’époque. À savoir un surjeu monotone.
Néanmoins, le fond est déjà là. Godzilla de 1954 est sombre avec son ton très sérieux. La menace du lézard géant est palpable et le parallèle avec les attaques nucléaires est limpide.
De plus, le lézard est certes l’élément principal, qui impacte chaque sous intrigue. Mais en plus il sert d’excuse pour parler d’autres sujets, qui tournent autour de l’avenir de l’humanité. Comme la peur du nucléaire, l’infrastructure japonaise ou encore les séquelles d’Hiroshima et de Nagasaki.
Ainsi, la profondeur du propos est marqué dès le premier volet d’une gigantesque saga. Qui est la plus longue de l’Histoire du Cinéma, soit dit en passant.
Enfin, j’étais très content d’entendre aussi le fameux thème de Godzilla, que j’avais découvert dans Minus One. D’autant qu’il s’agissait ici de la version originelle.
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