Fast and Furious 8
- Modifié le 18/05/2023
Hier soir, c’était l’avant-première de Fast and Furious 8. C’était donc une nouvelle effervescence au Grand Rex ! Avec notamment un tank et des flammes pour accueillir l’équipe de la plus grosse saga d’Universal !
Synopsis de Fast and Furious 8
Dominic Toretto et sa femme Letty sont en lune de miel à Cuba. Mais une mystérieuse femme vient interrompre les les vacances. Elle enrôle Dom dans une mission qui va le faire trahir les siens…
Fast and Furious 8 (Bande-Annonce)
Mon avis rapide sur Fast and Furious 8
Bref pour ma part, Fast and Furious 8 remplit son contrat, même s’il n’est pas forcément mieux qu’un autre. Le précédent volet ajoutait un aspect plus touchant, avec le parallèle entre le personnage de Brian et le regretté Paul Walker. Il n’a d’ailleurs pas été oublié, ni dans le discours du début, ni dans le film. En revanche le 8e épisode reste dans la lignée de la saga. C’est-à-dire que les personnages nous en donnent toujours plus.
Donc si vous aimez le spectacle pop-corn, vous ne serez pas déçus. En plus, le titre original a un super jeu de mot !
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Mon avis détaillé sur Fast and Furious 8
Après Ghost In The Shell, c’est au tour de Fast and Furious 8 de présenter son film. Pour venir à l’avant-première officielle, j’ai participé à un jeu-concours Facebook. En effet, il fallait répondre à des questions sur la licence pour l’accès grand public. Et je remercie le Grand Rex et Universal qui m’ont sélectionné pour assister à cet événement !
Sur scène, c’est le réalisateur F. Gary Gray qui est venu présenter le film. Il s’accompagnait des acteurs Charlize Theron et Vin Diesel. Lors du traditionnel tapis rouge, le premier était très affable, la deuxième beaucoup trop furtive (elle n’a même pas regardé ses fans, elle signait d’un coup de stylo les autographes). Quant au troisième, il était très proche de ses admirateurs (alors qu’il était grave à la bourre). La séance, précédée d’un discours très ambiancé (merci « Baboulinet » de mettre le feu !), a donc commencé à 22h au lieu de 21h ! Pas si rapide finalement…
Mais qu’en est-il alors de Fast and Furious 8 ? Et bien c’est que j’attendais. Je ne dis pas qu’il était sans surprise, mais plutôt qu’il savait comment contenter les fans de la saga.
Une histoire se teinte de suspens avec des retournements de situation plus ou moins prévisibles. Tandis que les scènes d’actions sont de plus en plus inventives et les répliques aussi badass les unes que les autres.
L’intro rend hommage à l’origine de la licence, à savoir des courses de rues, avec toujours plus de complications explosives. Je le disais pour Furious 7, ce que j’aime dans cette série, c’est que chaque volet a sa ou ses scènes qui sortent du lot. Celui-là n’échappe heureusement pas à la règle, avec notamment des voitures zombies…
La saga reçoit souvent des critiques mais on l’aime en secret. Pour moi, c’est du grand divertissement, donc je n’ai rien à leur reprocher. Parfois le cinéma, c’est aussi pour s’amuser. On le sait que pas mal de scènes ou d’actions sont improbables, mais il faut regarder cela avec du recul et juste apprécier l’imagination des créateurs.
De plus, ils arrivent toujours à doser réelles cascades et effets numériques, pour les voitures et les combats. Après, les fonds verts se grillent toujours autant (Michelle Rodriguez et ses cheveux en bataille n’ont pas aidé les graphistes !) C’est parfois du grand n’importe quoi, mais un grand n’importe quoi réussi.
Fast and Furious 8 conserve toujours les ingrédients habituels. À savoir, les courses endiablées avec les voitures sportives de luxes ou des véhicules insolites Mais aussi les musiques avec un gros son et des scènes aux quatre coins du monde. Le film met plus particulièrement l’accent sur l’aspect famille, ce qui peut devenir agaçant par moment.
Cela dit, il s’oriente beaucoup plus vers la comédie, notamment avec les personnages joués par Dwayne Johnson, Jason Statham et Tyrese Gibson. Puisqu’ils s’adonnent à des répliques ou situations décalées assez souvent. Il ne faut pas qu’ils en fassent plus, sinon, ça risque de nuire à la licence.
Ensuite, Charlize Theron campe ici un personnage vraiment malsain, la méchante (pour rester polie) par excellence. Ce qui lui réussit plutôt bien. Aussi, après Nathalie Emmanuel, un nouvel arrivant venu de la série Game Of Thrones fait son apparition : Kristofer Hivju ! Pas un rôle exceptionnel, mais il fait son taff.
Concernant les spoils de la bande-annonce, beaucoup vous diront qu’on a tout vu. Ce n’est pas totalement faux dans le sens qu’on sait vers quoi on se dirige quand on regarde Fast and Furious 8. Mais celui-ci réserve tout de même des rebondissements agréables. La séance à laquelle j’ai assisté s’accompagnait d’ailleurs d’effets pyrotechniques synchronisés, ce qui rajoutait de l’immersion.
Edit : j’ai vu la 2e bande-annonce, en effet, elle spoile beaucoup…
Enfin, le réalisateur est le même que le biopic sur N.W.A. que j’avais beaucoup apprécié au niveau du rythme. Quand j’ai appris qu’il réalisait un Fast and Furious, j’espérais qu’il y soit en tant que créateur (et pas un simple yesman). Ce qui est, avec soulagement, le cas ! Certaines scènes sont visuellement musicales, les plans durent assez longtemps. Contrairement aux films d’actions, qu’on surcoupe en général. Ici, on a le temps d’apprécier les images.
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