

Vol à Haut Risque
Mon avis rapide
Content d’avoir vu Vol à Haut Risque en tant que toute première séance 2025 (je ne pouvais pas en parler avant sa sortie). Mel Gibson nous propose ici un huis clos d’action dans les airs qui tient la route tout du long. La narration alterne approfondissement des personnages et rebondissements. De plus, le film surprend jusqu’à la dernière seconde.
Ma note

Visionnage
Sorti le 22/01/2025
Vu le 07/01/2025
Titre : Vol à haut risque (Flight Risk)
Réalisation : Mel Gibson
Scénario : Jared Rosenberg
Nationalité : Américain
Casting principal
Compagnies
Synopsis
L’agente du FBI Madelyn Harris doit déplacer un témoin, Winston, depuis l’Alaska. Pour cela, ils intègrent l’avion privé d’un certain Daryl Booth. Mais les deux passagers vont vite comprendre que le pilote ne semble pas être celui qu’il prétend…
- Modifié le 30/01/2025
Vol à Haut Risque est ma première séance de l’année 2025 !
Je démarre 2025 avec Vol à Haut Risque en projection presse, au siège de Metropolitan Films. Mais je ne pouvais pas en parler avant la sortie, soit le 22 janvier.
Le pitch de départ sonne simple et pourtant, il arrive à nous tenir tout du long. D’autant qu’on entre rapidement dans le vif du sujet.
De plus, étant donné qu’il s’agit d’un huis clos et que la situation varie peu, la narration compense en se concentrant sur les personnages. Ainsi, on en apprend un peu plus sur chacun, petit à petit. Cela permet d’agrémenter le voyage.
Ensuite, les rebondissements ne sont pas en reste et permettent de tenir en haleine jusqu’à la dernière seconde. Le film apporte son lot de surprises, malgré une base prévisible. Mel Gibson (Tu ne Tueras Point) oblige, attendez-vous à quelques passages sanglants.
Aussi, les respirations avec les décors font plaisir. Les superbes paysages montagneux sont de grands alliés, surtout pour les claustrophobes.
Enfin, le casting de Vol à Haut Risque est simple et fait le job, chacun à sa manière. Sans doute un peu trop de blagues pour Topher Grace. Un peu trop de lourdeur pour Mark Wahlberg. Ou encore principe trop exagéré pour Monib Abbat en Hasan. En fait, seule Michelle Dockery incarne un personnage stable et équilibré dans sa personnalité. Je comprends néanmoins le reste pour bien les différencier. L’aspect léger par moment reste appréciable.