

Un Ours dans le Jura
Mon avis rapide
Un Ours dans le Jura est plutôt drôle et surtout bien écrit. Car les éléments s’entrecoupent parfaitement, rien n’est laissé au hasard. Avec en plus un casting amusant et varié. J’aurai juste aimé que ça aille un peu plus loin dans l’émotion.
Ma note

Visionnage
Sorti le 01/01/2025
Vu le 08/01/2025
Titre : Un ours dans le jura
Réalisation : Franck Dubosc
Scénario : Franck Dubosc, Sarah Kaminsky
Nationalité : Français
Casting principal
Compagnies
Synopsis
Après avoir évité un ours, Michel, un marchand de sapin, tue accidentellement 2 étrangers. Mais ces derniers semblent avoir un lien avec du trafic de drogue. Avec sa femme Cathy, ils vont alors tout faire pour dissimuler l’accident et surtout garder l’argent qui était présent dans le coffre de la voiture…
- Modifié le 30/01/2025
Un Ours dans le Jura est officiellement ma première séance 2025 au cinéma !
Un Ours dans le Jura est plutôt sympa. Je n’en attendais pas moins d’une nouvelle création de Franck Dubosc. En effet, c’est drôle et l’ambiance se porte plus sur la comédie noire que sur la comédie habituelle.
On a évidemment la part belle au casting. Avec notamment Laure Calamy qui nous fait rire dans sa confiance en elle excessive pour des décisions médiocres. L’actrice dans une comédie noire me faisait penser à Bonne Conduite. De même, les deux, avec Franck Dubosc, forme un couple paumé qui essayent de bien faire, ça fonctionne.
Mais le plus frappant dans le film c’est le super travail d’écriture, car tout se recoupe. D’ailleurs, au début, les éléments se dévoilent grâce à la mise en scène. On découvre peu à peu les différents entre chaque situation et personnage. Ainsi, on ne s’ennuie pas spécialement, tout tient la route et on a de quoi tenir jusqu’à la fin. Un Ours dans le Jura se concentre vraiment sur l’avancement de l’enquête. Et ce sont les situations qui en découlent qui nous font sourire.
Après, ça n’est pas mon Franck Dubosc préféré, car il m’a manqué une part plus importante consacrée à l’émotion, qu’on a pu avoir par exemple dans Rumba La Vie. Ici, je dirai qu’on se contente de rire par moment (ce qui est déjà pas si mal en soi)