The Apprentice

The Apprentice ne m’a pas convaincu, je n’ai pas réussi à rentrer dedans. Globalement dû aux multiples enjeux qui paraissent confus. En fait, j’ai surtout eu du mal à vraiment dégager les messages claires. Comprendre où ils voulaient en venir.

Pour le coup, je m’attendais à quelque chose de plus simple. Où on se concentrerait plus sur la fabrication du personnage. Certes, on la retrouve, mais quelque perdue dans beaucoup de dialogues. Qui ne m’ont pas toujours captivé.

Néanmoins, cela ne m’a pas empêché de remarquer la réalisation intéressante. En effet, le film opte pour un parti pris proche du documentaire et de l’image d’archive. Ce qui rend le tout original. En plus, on voit un peu du New York rétro, ça fait plaisir.

Aussi, le plus frappant reste Sebastian Stan (le célèbre Soldat de l’Hiver dans la saga Marvel). Puisqu’il arrive à se glisser pleinement dans la peau de Trump. Son jeu impressionne dans sa reprise des tics de visages, de sa façon de parler et bien sûr sa bouche. C’est ce qui n’a sans doute pas plus à l’original…

De même, Jeremy Strong s’en sort pas mal, bien qu’il ne propose pas une grande variété d’expressions. Tandis que Maria Bakalova permet d’en apprendre plus sur Ivana, la célèbre femme de Trump.

En tout cas, The Apprentice montre bien la montée du protagoniste. Je craignais d’ailleurs qu’il passe pour le gentil, car au début il paraît presque sympathique. Heureusement, il devient effectivement celui qu’on connait. Évidement, inspiré de faits réels oblige, on reste vigilant sur ce qui est vrai et romancé.