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Sucker Punch Poster

Sucker Punch

Mon avis rapide

J’ai revu Sucker Punch et malgré les débats autour… j’aime toujours autant ce film. Les crossovers improbables, la réalisation esthétique inventive et les séquences type clip me captivent encore. Malgré quelques effets vieillissant, le côté onirique justifie cet aspect numérique lisse. De plus, les images ne sexualisent pas les corps féminins et laisse plutôt une grande part à l’interprétation. Notamment s’il prône une vision féministe ou non.

Ma note

Picto Top JVC

Visionnage

Sorti le 28/03/2011

Vu le 24/02/2023

Titre : Sucker Punch

Réalisation :

Nationalité :

Casting principal

Compagnies

Synopsis

Pour retrouver la liberté, Babydoll doit récupérer des objets décimés dans des mondes imaginaires. Elle s’accompagnent de Sweet Pea, Rocket, Amber et Blondie. Les 5 filles vont alors se battre contre différentes créatures pour leur survie…

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Je n’ai pas revu Sucker Punch depuis sa sortie en salle, puis en dvd. J’appréhendais donc un peu de le revoir, car peut-être qu’il n’était pas si bien que dans mes souvenirs…

Il s’agit de mon premier visionnage de Sucker Punch en VOST, car je l’ai toujours vu en VF (une fois en salle et une fois en DVD). J’avais beaucoup aimé à l’époque, mais au vu du débat qu’il suscite, je voulais le revoir. Et ce, grâce à la séance Grand Écran Large ! Ainsi, cela me permettrait de savoir si ce n’était qu’un bon souvenir erroné par la nostalgie, et qu’en fait il était mauvais. Eh bien, ce re-visionnage m’a confirmé que… j’aime beaucoup ce film.

Tout d’abord, j’adore les différents gros crossovers improbables, qu’on retrouve dans les scènes d’action. En tant que geek, ça me parle beaucoup, car on mélange des éléments qu’on ne voit quasiment jamais ensemble.

Ensuite, les séquences type clip, avec la musique qui dicte le rythme. J’apprécie quand les images parlent d’elles-mêmes, c’est tout l’art du cinéma. D’autant que Zack Snyder a l’habitude de rendre ça dynamique et inventif. Certes, peut-être qu’il esthétise trop. Néanmoins, ça me plaît.

Comme les fameux ralentis, propres au réalisateur, qui peuvent faire lever les yeux au ciel. Tout comme dans la Snyder’s Cut Justice League, ils magnifient ici certains plans, pour qu’on ait bien le temps de les apprécier, tels des cases de comics. De même, le rapport au temps peut entrer en compte.

Concernant les musiques, on retrouve aussi un mélange, digne d’une playlist d’ado un peu en marge. Car les styles pop varient et soulignent la prestance des personnages.

Je vous cache pas que quelques séquences de Sucker Punch ont légèrement vieillies. Cela dit, ce n’est pas si gênant que ça, puisque le côté onirique justifie l’aspect numérique et lisse.

Quant aux propos, est-ce que ce premier long-métrage original de Snyder prône une vision féministe ou pas ? Je ne sais pas vraiment. Je trouve qu’il laisse une grande part à l’interprétation. En dépit qu’il affirme qu’il avait un message à faire passer et que personne n’a vu.

Néanmoins, pour moi, à aucun moment le film ne sexualise les corps féminins. Les images montrent juste des filles badass dans une réalité et maltraitées dans l’autre.

D’ailleurs, je suis content de revoir Oscar Isaac jeune. Je l’ai découvert dans ce film et déjà à l’époque il excellait. En revanche, on n’a pas trop l’occasion de creuser Amber (Jamie Chung) et Blondie (Vanessa Hudgens). De plus, j’avais oublié que Rocket (Jena Malone) était vraiment présente, quasiment autant que Sweat Pea (Abbie Cornish) et Babydoll (Emily Browning).

Regardez la bande-annonce de Sucker Punch

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