Mission Impossible : Dead Reckoning – Partie 1

Ce nouvel opus Dead Reckoning me donne tout ce que j’attends d’un Mission Impossible. De plus, on retrouve les ingrédients, tels que les coups d’avance et tours de passe-passes classiques mais efficaces. Aussi, on a le droit à de petites touches d’humour par moment.

J’avoue que le début est assez compliqué à suivre. D’ailleurs, à peine commencé, direct il faut qu’il y ait des russes. En tout cas, le principe du film finit par être assez simple finalement.

Les 2h40 de film se remplissent assez bien, on ne s’ennuie pas. De nombreuses scènes d’action se relient entre elles par des dialogues, comme des respirations.

Après, on sent qu’ils étirent toutes les courses poursuite à pieds comme en véhicules, bien qu’elles offrent ce qu’il faut comme tension. Cette dernière s’en retrouve constante au passage.

Pour le coup, j’ai un peu moins ressenti le côté réel des scènes d’action, sauf celle de la moto qui a beaucoup servi la promo.

Au niveau de l’intrigue de ce Mission Impossible, je trouve une certaine similarité entre Dead Reckoning à Fast 10 dans le principe (en plus d’une course-poursuite à Rome). À savoir que l’antagoniste cible les membres de l’équipe principale.

D’ailleurs, je reviens un peu sur les protagonistes. Déjà, Simon Pegg joue Benji, mon perso préféré car sans doute le membre le plus touchant. Tandis que Ving Rhames en Luther, pourtant un des piliers, est en retrait. Sinon, Ethan Hunt, ou plutôt Tom Cruise, ne semble vraiment pas vieillir mais ne semble pas vraiment se renouveler pour autant.

Concernant les nouveaux venus, je suis très content de voir Hayley Atwell, car je ne l’avais pas revue sur grand écran depuis Doctor Strange 2. Et en parlant Marvel, je trouve Pom Klementieff (Mantis dans Les Gardiens de la Galaxie) trop badass ici en méchante. J’adore, ça lui va bien.