Godzilla Minus One / Minus Color
- Modifié le 13/11/2024
Je déclare ouvert le 3e round pour Godzilla Minus One avec sa version Minus Color !
Synopsis de Godzilla Minus One / Minus Color
Un ancien aviateur japonais revient chez lui après la Seconde Guerre Mondiale. Mais il semblerait que la créature qui le hante depuis des années refait surface. Et qu’elle est à présent bien plus menaçante…
Godzilla Minus One / Minus Color (Bande-Annonce)
Mon avis rapide sur Godzilla Minus One / Minus Color
Le noir et blanc de Godzilla Minus One / Minus Color est plutôt joli, on peut par moment repenser à l’original d’il y a 70 ans. Néanmoins, je ne suis pas assez convaincu du réel intérêt. Car l’effet s’estompe et parfois va même diminuer la qualité visuelle de la version couleur, que je préfère donc. J’aurai aimé qu’ils poussent vraiment à fond l’effet vintage pellicule à la rigueur.
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Mon avis détaillé sur Godzilla Minus One / Minus Color
Pour cet article sur Godzilla Minus One / Minus Color, je ne reviendrai pas forcément sur un avis détaillé. En effet, j’ai déjà traité la version couleur dans sa review dédiée. Principalement, je vous ferai part de mon avis sur cette version.
Tout d’abord, l’aspect noir et blanc est joli. Lors de la séance à l’occasion de la rétrospective Kaiju, Fabien Mauro évoquait l’aspect pellicule. Il nous expliquait que l’équipe du film et notamment les étalonneurs, ont essayé de retranscrire un format proche de l’original de 1954.
Pour ma part, je trouve que l’effet fonctionne au début, puis finit par s’estomper. À l’instar de la 3D par exemple ou de l’IMAX, on n’y fait plus vraiment attention par la suite.
Pour le coup, je m’attendais à un effet plus rétro que ça quand même. À savoir d’ajouter une légère dégradation de l’image, avec des artéfacts de pellicule et un vignetage plus prononcé.
De plus, le noir et blanc de Godzilla Minus Color enlève quelque peu de la qualité à certains éléments. Du côté des effets spéciaux ou des séquences dont la photographie couleur donnait plus de richesse.
Néanmoins, malgré un 3e visionnage (dont un second cette année !), je suis toujours à fond dedans. J’adore ce film, il est profondément réussi. Ok on peut douter de la temporalité sur la dernière séquence, mais qu’importe. L’émotion est toujours là. Ma gorge se sert toujours aux même scènes. C’est dire la force du film.
Donc très heureux d’avoir assister à la séance finale de l’événement pour les 70 ans de la bête.
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