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Edmond Poster

Edmond

Mon avis rapide

Edmond est une belle histoire qui rend hommage au théâtre, sur les origines de la pièce mondialement célèbre. Ses dialogues l’a rythme tout aussi bien que ses jeux d’acteurs. Mais aussi avec son sens de l’humour et sa montée en puissance. Le tout dans un cadre qui me plaît beaucoup, à savoir Paris tout juste électrique. En tout cas, d’un point de vue externe au théâtre. À voir pour ceux qui le connaissent mieux que moi. Je n’ai d’ailleurs aucun moyen de comparer le film à la pièce de théâtre éponyme et du même créateur (car je ne l’ai pas vue)

 

Ma note

Picto Inconnu JVC

Visionnage

Sorti le 09/01/2019

Vu le 01/02/2019

Titre : Edmond

Réalisation :

Nationalité :

Casting principal

Compagnies

Synopsis

Fin 1897, Edmond Rostand n’a pas écrit de pièce depuis deux ans. Il est réputé pour faire des fours et de n’avoir aucun talent. Seule sa femme le soutien. En dernier recours, il propose une pièce au comédien Constant Coquelin, pour faire des représentations pour les fêtes. Sauf que la pièce n’est pas encore écrite. Les financements arrivent, les comédiens sont recrutés et le théâtre est trouvé. problème : Edmond n’a à ce moment que le titre de sa pièce, Cyrano de Bergerac.

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Avant Edmond, je n’ai pas ciné depuis pas mal de temps… L’heure du rattrapage a sonné  ! Et je commence avec un film que mes copains de séances ont vu en mon absence et qu’ils m’ont conseillé.

La bande-annonce d’Edmond m’avait tout de même intrigué au Showeb (oui encore…) et le retour de mes potos m’avait convaincu.
Tout d’abord, j’ai réalisé que j’adore la période du 19e siècle (et 20e siècle par extension) Voir Paris d’antan me fascine toujours autant. Et déjà là, ça marque un point.

Ensuite, le film est effectivement très bon. Principalement par son rythme. Les répliques s’enchaînent, avec beaucoup de ton et de dramaturgie, assez théâtrale mais efficace. On est loin du non-jeu dans L’Incroyable Histoire du Facteur Cheval. Dont j’ai parlé récemment, mais que j’ai l’impression d’être le seul à l’avoir perçu comme ça…

La caméra suit parfois les comédiens dans leurs moindres déplacements, notamment en plan-séquence, qui donne une sensation de voyage.

Le thème du théâtre est important dans Edmond (et heureusement pour ce film-là hein !). Même sans y connaître énormément (disons, niveau BAC quoi), j’apprécie beaucoup la façon dont le film amène les références. Dans un premier temps à la pièce (je connais évidemment seulement la réplique sur le nez), qui montre de façon subtile la créativité de l’écrivain. Mais aussi au théâtre de façon générale. Avec notamment l’alchimie qui règne entre les comédiens, l’écrivain, les financiers, les techniciens et le public. Comment ils gèrent toutes leurs facultés, tous leurs défauts. C’est à ce moment-là qu’on se rend compte vraiment du sens des termes « spectacle vivant ».

En plus de la trame principale, qui amène une belle montée, la seconde se mélange délicieusement. Celle qui traite de la nouvelle passion et la nouvelle inspiration d’Edmond. Thomas Soliveres obtient un rôle conséquent, qui lui permet de sortir un peu de ses jeux habituels de jeune ado. Il est entouré d’une belle troupe, portée par un Olivier Gourmet plus qu’en forme.

Enfin, les gags sont inventifs et permettent de ponctuer le film Edmond par de petites touches d’humour. Ne cassant ainsi pas le rythme, ni l’histoire.

 

Regardez la bande-annonce de Edmond

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