Comme des Bêtes 2
- Modifié le 12/10/2023
J’avais trouvé le 1 passable, alors est-ce que la suite est mieux ?
Synopsis de Comme des Bêtes 2
Max et Duke ont un nouvel arrivant dans leur foyer : Liam, le bébé de leur maitresse Katie. De son côté, Pompon le lapin se prend pour un super héros et doit aider une certaine Daisy. Enfin, Giget doit apprendre à devenir un félin, afin d’aller récupérer le jouet préféré de Max, chez une mamie aux mille chats…
Comme des Bêtes 2 (Bande-Annonce)
Mon avis rapide sur Comme des Bêtes 2
Comme des Bêtes 2 est à l’image du premier : de bonnes idées passables. Il fera le taff pour les amoureux des animaux et des enfants, mais n’a rien d’ambitieux. C’est un choix tout à fait respectable, mais cela a le risque de rendre le film commun, voire oubliable. Il aurait manqué de pas grand-chose tout de même, comme une écriture un peu plus profonde des trois univers présentés. Qu’on ait une meilleure sensation d’évasion et moins de clichés.
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Mon avis détaillé sur Comme des Bêtes 2
J’ai trouvé très intéressant de partir sur une triple histoire. Chaque personnage peut avoir ses objectifs et évoluer de son côté. Cependant, les trois univers sont superficiels, on n’a pas le temps de vraiment bien s’immerger dedans. Comme c’est un film pour enfant, on accentue les traits, on caricature à mort, afin que les personnalités ressortent plus facilement. Ce qui fait qu’on n’y croit moyen, passé 8 ans. Comme on a déjà trois pré-fins, la conclusion générale semble inutile, donnant un sentiment au film d’un « tout ça pour ça » assez frustrant.
C’est globalement sans surprise, tout s’enchaîne rapidement et sans grande ambition. Les rebondissements sont simples et parfois, les problèmes et solutions arrivent de façon peu naturelle. J’ai été notamment déçu de l’incohérence des personnalités des protagonistes, par rapport à la fin du premier volet. L’avantage, c’est que cette suite n’en est pas vraiment une. Vous pouvez la regarder sans avoir vu l’épisode précédent.
La partie animale est toujours au rendez-vous, heureusement. Déjà techniquement, avec la simulation de pelage qui fonctionne au poil. On a vraiment envie de prendre dans nos bras ces peluches animées. Mais aussi avec les références aux animaux domestiques, de leur comportement en interaction avec celui de leurs maîtres, qui sont toujours présentes dans ce film. De plus, pour la partie qui se passe dans la nature, les décors sont riches en détails organiques. Le contraste avec la ville est réussi. Enfin, on arrive facilement à attribuer des personnifications d’humain sur les animaux. Même si je ne vois pas trop l’intérêt, puisqu’il y a déjà la présence d’humains dans l’histoire.
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