Le Grand Écran Large Cliffhanger

Cette fois-ci, je suis arrivé un peu plus tard. Mais heureusement, c’était encore l’apéro, dans lequel j’ai revu des têtes connues (et oui, on finit par se faire des copains avec ce genre de séances !)

Pour ce Grand Écran Large dédié à Cliffhanger, nous avons eu la présence de Judith (modérée), Alexandre (hater), Antoine (modérateur) et Déborah (loveuse). Le Club de l’Étoile nous a diffusé le remaster 4K du long-métrage, qui valait le coup, notamment pour ses décors fascinants. Découvrez mon avis sur le film ici (ou en cliquant sur l’affiche plus bas)

À l’issue de la projection, j’avais hâte d’écouter le débat. Car pour le coup, l’avis de ceux qui l’adorent m’intéressait beaucoup. Pour ma part, je suis complètement de l’avis d’Alex, qui clairement a mis les mots sur ce que je ressentais. Tous les arguments d’appréciation s’entendaient. Cependant, il se peut que l’aspect nostalgique rentre en compte. Comme je l’évoque dans mon avis, je pense avoir découvert trop tard ce film.

Quant à la discussion, elle est revenue sur le contexte de l’œuvre. À savoir l’état de la carrière de Sylvester Stallone, mais aussi du film d’action plus généralement.

S’en est suivie les questions du public, où cette fois-ci j’ai réussi à formuler la mienne avant la fin (j’ai appris de la dernière fois !). À cette séance Grand Écran Large, j’ai demandé si Cliffhanger avait marqué le cinéma avec quelques éléments novateurs. J’ai cité notamment la scène des avions, qui m’avait beaucoup fait penser à celle dans Dark Knight Rises. Ce à quoi, Deborah m’a bien sûr évoqué avec enthousiasme la référence évidente (bien qu’officieuse) dans Mission Impossible 2.

Par ailleurs, un membre de la rédaction dans le public a essayé, avec humour, de déstabiliser Antoine. Il l’a questionné sur un lien douteux entre ses choix de film et un régime politique… disons très strict. C’était un moment très amusant, qui représente bien la bonne ambiance de ce genre de séance.

On a bien sûr fini sur un sondage humoristique de qualité. Mon téléphone se connecte maintenant automatiquement au réseau wifi du club, c’est dire.

Enfin, j’ai trouvé qu’il y avait un peu moins de monde cette fois. Mais c’était sans doute un mélange de grèves et l’ensemencement du film.