The Circle
- Modifié le 12/10/2023
Ayant été pas mal occupé les weekends ainsi que les semaines, il s’est tout de même écoulé près de quinze jours sans une seule séance de ciné ! Alors quoi de mieux pour reprendre les bonnes habitudes, que d’aller à une avant-première en présence de la star du film ?
Synopsis de The Circle
San Francisco, Mae Holland est assistante de clientèle dans une petite boîte, jusqu’au jour où elle obtient le même poste dans la plus grosse entreprise du moment : The Circle. Un endroit où toutes vos données sont collectées en temps réel et où l’innovation flirte avec le manque d’éthique…
The Circle (Bande-Annonce)
Mon avis rapide sur The Circle
Bref un film d’anticipation qui est cruellement vrai pour pas mal de points mais qui se laisse aller dans une histoire inattendue et avec un final presque contradictoire avec les bases installées. Néanmoins ça se regarde très bien et le motion design est très classe. Ce n’est pas assez dark pour concurrencer la série Black Mirror mais l’intention est là et ça fait du bien au cinéma.
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Mon avis détaillé sur The Circle
Je n’étais jamais allé à l’UGC Normandie des Champs-Elysées et je dois dire que la Salle Prestige est très bien disposée. L’avant-première du film était donc précédée d’un (court) discours de Stéphane Celerier, directeur de Mars Films et bien évidemment, de la célèbre Emma Watson. Malgré sa grande heure de retard, elle a pu nous dire « Bonjour » en français.
En ce qui concerne le film, pleins de bonnes idées, posées principalement dans une scène d’exposition très propre et emplie de sens.
Le jeu de chaque acteur est pertinent, entre Tom Hanks qui surf sur l’entrepreneur digne de Steve Jobs et de Mark Zuckerberg, Emma Watson qui lie le monde hyper connecté et la ‘vie normale’ et Karen Gillian qui arrive à jouer 2 phases opposées avec cohérence.
Le souci résiderait dans John Bogeya qu’on ne voit vraiment pas beaucoup, alors que son personnage aurait pu être plus important. De plus, l’histoire se permet pas mal de raccourcis, liés à la caricature, ne m’ayant pas gâché pour autant le plaisir du film.
La musique signée étrangement par le grand Danny Elfman m’a enivré et ne pouvait pas être plus juste. Pas mal de plan-séquences amènent un certain souffle bien trouvé.
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