Schirkoa In Lies We Trust
- Modifié le 18/09/2024
Schirkoa marque ma deuxième séance à L’Étrange Festival 2024 !
Synopsis de Schirkoa In Lies We Trust
À Schirkoa, tout le monde porte un sac en papier sur la tête. Cela permet d’anonymiser les habitants et de les ranger dans des catégories sociales. L’un d’entre eux, 197A, fait la rencontre de 33F, une fille qui ne porte pas de sac. Ajouté à cela les sombres histoires inventées par le gouvernement. Notamment celle qui considère les gens comme elles comme des anomalies…
Schirkoa In Lies We Trust (Bande-Annonce)
Mon avis rapide sur Schirkoa In Lies We Trust
Schirkoa propose un concept de départ aussi original que sa direction artistique. Malheureusement, qui finit par me perdre car c’est beaucoup trop long pour ce que ça raconte. Ainsi, j’ai été largué pendant un bon moment, bien que quasiment tout reste regardable.
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Mon avis détaillé sur Schirkoa In Lies We Trust
Un long-métrage d’animation dans ce Festival ça fait plaisir. En plus, l’équipe du film est venue le présenter de façon amusante. En effet, le principe de base étant que tout le monde porte des sacs en papiers, ils sont arrivés sur scène de la sorte. Et sans le quitter, même après la séance dans le hall !
Schirkoa est original avec une direction sympathique. L’aspect jeu vidéo ne dérange pas plus que ça. Surtout que le concept de vase est prenant au début. J’espérais qu’il ne s’arrête pas là et que cela nous raconte quelque chose. Et en soi, c’est ok là-dessus.
Néanmoins, tout bascule lors de la 2e partie. Pour ma part, je pensais même que c’était limite la fin du film. Alors que c’était en réalité quasi le début.
À partir de là, j’ai décroché, car la narration me perd dans des événements dont je ne comprends pas le but. En soi, les messages globaux sont assez clairs, bien que vus et revus. Mais beaucoup d’éléments apparaissent sans réelles explications. Ainsi je regarde passivement les différentes scènes, dont par moment on frôle la purge (il en faut toujours une en festival). Je me focalise sur les images et l’animation, mais bon, elle reste assez constante, donc on a vite fait le tour.
Je pense que c’est surtout trop long pour ce que ça veut raconter. C’est souvent le défaut dans lequel peut tomber un long-métrage adapté d’un court-métrage. En effet, son réalisateur Ishan Shukla avait déjà réalisé le court-métrage Schirkoa en 2016. Il s’était expressément mis à l’animation à cette occasion. Puis il a pu l’adapter avec plus de moyens en long.
En tout cas, amusant la coproduction indienne mais aussi à la fois française et allemande. D’autant que plusieurs langues sont parlées également dans le film.
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