Miss Peregrine et les Enfants Particuliers

Très agréable ! Un bon rythme, on découvre les révélations en même temps que le héro. Une bonne montée en puissance, avec quelques incohérences, inévitables pour ce genre de film.

On retrouve pas mal d’éléments propres au réalisateur mais également des nouveautés pas décevantes (un certain combat sur de l’électro que j’ai adoré)
Les effets spéciaux sont au rendez vous, mêlant différentes techniques, dont certaines chères au réalisateur. Les monstres sont aussi réussis que Samuel L Jackson, en méchant mégalo bien crédible.
Malgré la tête d’affiche et le titre, on pourrait penser qu’Eva Green, retrouvant ici Burton après Dark Shadows, soit le centre de l’oeuvre, mais loin de là. Elle fait ce qu’elle a à faire et elle le fait bien, à savoir d’une sorte de maman poule préoccupée.
En parlant de retrouvailles, Asa Butterfield et Chris O’Dowd (It Crowd) sont de nouveau réunis dans une relation père -fils, mais ici plus explicite que dans X+Y.
La seule déception c’est que ce n’est pas aussi effrayant que je pensais. N’ayant pas lu les livres, j’ai eu des retours comme quoi c’était plus drôle que terrifiant et ça se ressent.