

Ma note

Visionnage
Sorti le 19/04/2017
Vu le 19/04/2017
Synopsis
La Station Spatiale Internationale et son équipe de 6 astronautes à bord, reçoivent une navette transportant avec elle des échantillons de sol martiens. Le plus grand moment de l’Histoire retenti lorsqu’ils y découvrent une cellule vivante, prouvant la vie ailleurs dans l’espace. Mais son évolution semble plutôt rapide et incontrôlable…
- Modifié le 30/01/2025
Petit comeback à la SF. Une histoire assez commune, qui se rattrape qu’avec un casting lourd ou avec des trucs sympas ?
Et bien avec les deux (pour répondre à la question de l’intro) ! J’avais tellement peur d’avoir un vieux remake d’Alien ou de tous ces films de découvertes qui tournent en huis clos horrifiques. Certes le scénario n’est pas nouveau mais le film réussi à nous surprendre. Par contre, l’ajout français d’Origine Inconnue est inutile, quand on sait dès le début du film qu’ils ont des échantillons martiens…
Il joue pas mal sur les jumpscare, pouvant lasser au bout d’un moment, même si j’étais pris, mais tout réside dans les différents arcs et les méthodes pour chasser la bête, ainsi que dans certaines mises en scène intelligentes, jouant avec le décor et les lumières.
Quelques plans sont très ancrés SF, même la musique, les amateurs seront biens dans leur élément.
Le casting est bien fourni, avec Jake Gyllenhal, Ryan Reynolds, Hiroyuki Sanada et Rebecca Ferguson, même si les personnages restent assez superficiels (quelques amorces de liens, d’affection et de background sont un peu amenés)
C’est assez réaliste tout en restant simplifié mais à un moment ça part un peu en vrille cassant les repères avec de mini incohérences mais ça se rétablit par la suite jusqu’à la fin.
Les effets spéciaux sont assez discrets pour une grande partie et impressionnant quand il y a besoin, dans la veine d’un Gravity (d’ailleurs l’intro est aussi en un plan-séquence) Ils ont bien réussi le design et l’animation du nouveau passager.
C’est bien stressant et parfois imprévisible, une petite pierre à l’édifice du genre, car ce n’est pas le film de l’année mais un bon moment pour les yeux.