Better Man
- Modifié le 17/01/2025
Les biopics musicaux sortent des sentiers battus une nouvelle fois avec Better Man !
Synopsis de Better Man
Robbie Williams nous raconte son parcours artistique, de son enfance à ses derniers succès, en passant par ses problèmes d’addictions. Le tout sous les traits d’un singe !
Better Man (Bande-Annonce)
Mon avis rapide sur Better Man
Better Man continue d’alimenter cette vague de biopic musicaux innovants de mise en scène. D’autant que celui-ci n’hésite pas à creuser là où ça fait mal, dans les pires moments de Robbie Williams. Dont je découvre ici son statut de rockstar britannique. Une réalisation divertissante et prenant toute du long. Avec un réalisme abouti à chaque instant concernant le protagoniste aux traits de singe.
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Mon avis détaillé sur Better Man
Je n’avais même pas tilté que Better Man était le nom d’une chanson de Robbie Williams. Même si je m’en doutais, puisque c’est la mode pour le nommage des biopics musicaux (Bohemian Rhapsody, Rocket Man,…) Pour le coup, je ne connaissais pas tant que ça la vie du chanteur, en dehors qu’il avait commencé dans Take That. Donc j’ai appris son parcours, en découvrant notamment son statut de rockstar. D’ailleurs, on ne fait pas de concession.
En effet, c’est plutôt sombre, on parle de tout, même de ses addictions. L’artiste n’a pas forcément une image reluisante ici. Ce n’est pas vraiment le film familial, avec les sujets sérieux qu’il aborde ou les nombreuses blagues en dessous de la ceinture (mais qui correspondent bien au personnage). Certes, cela ressemble au parcours classique de la rock star en perdition, mais la narration arrive à rendre ça palpitant tout du long. Notamment avec l’apparence de singe.
Celui-ci est ultra expressif et attachant. Ça fait du bien, comparé aux singes sérieux et dramatiques de chez la 20th. Ici aussi il est super bien fait, qui s’incruste très bien avec le grain style pellicule, ce qui aide aussi. N’importe quel plan est soigné, aucun ne semble bâclé ou confié à un sous-sous-sous-traitant. Au final, on ne se rend même plus compte que c’est un singe.
De même, la réalisation de Michael Gracey, à qui l’on doit The Greatest Showman notamment, offre un spectacle tout du long. Les chansons par exemple, servent des moments d’envolées très cinématographiques, qui s’intègrent parfaitement dans Better Man. D’autant qu’on peut trouver des transitions de malade. De plus, les chansons de Robbie Williams sont utilisées avant tout pour la narration, on ne s’attarde pas sur leur origine créative.
Enfin, le film est touchant dès le début jusqu’à la fin. On nous présente une vie tumultueuse, avec les hauts puis les bas-fonds. À l’instar de Piece By Piece, un autre biopic musical innovant, tout n’est sans doute pas exact, ou que c’est édulcoré voir déformé. En tout cas, dans cette histoire en tant que long-métrage, ça fonctionne bien.
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