007 Spectre

3 ans après Skyfall, James Bond nous revient dans sa suite directe, Spectre.

Après une mission encore loin d’être discrète, cette fois à Mexico City, l’agent 007 trouve une bague avec un symbole qu’il semble reconnaitre. Il décide alors d’enquêter et va finir par tomber sur une organisation secrète, appelé Spectre. Qui peut donc être derrière tout ça ?

Une scène d’introduction explosive, au début prometteur, mais finissant sur une note, qu’on retrouvera par la suite, de déjà vu, de clichés et d’un manque d’originalité, digne d’un film d’action d’espion lambda…

Je n’ai pas vu beaucoup de James Bond, mais ceux que j’apprécie sont classiques pour l’époque mais au moins divertissants. Dans ce 24e opus, j’ai du attendre la dernière partie pour commencer à trouver quelque chose d’intéressant.

Heureusement le méchant, joué par l’inimitable Chris Waltz, garde encore ce côté que j’aime chez les antagonistes de ce genre de films, le mec qui veut tout contrôler et qui s’attaque personnellement à James. Aussi, j’ai envie de dire ‘Toute cette promo pour ça ?’ à Monica Bellucci… Sans parler de l’ancien catcheur David Bautista, campant un rôle n’apportant pas grand chose. Je l’ai préféré dans Les Gardiens de la Galaxie. Sinon, vous pourrez toujours retrouver Léa Seydoux, qui aura été présente dans les deux concurrents, à savoir avec Mission Impossible 4.

Quelques instants de légèreté permettent de ne pas sentir totalement étranger à tout ça, car ils font tout de même sourire. Le costume et l’ambiance au début, à Mexico City, sont classe aussi, mais je n’ai pas trouvé de scène digne d’être gardée à l’esprit pour identifier ce James Bond.