The Beatles – Eight Days A Week
- Modifié le 12/10/2023
Alors, j’étais parti pour Comancheria et Infiltrator le week-end dernier mais ma nouvelle carte s’est vue refuser par la machine et par les caissières, comme quoi elle était en liste noire. Mais le service client, le lundi, m’annonce que ma carte va bien… J’attends donc la réception d’une nouvelle carte. Heureusement, j’avais pu réserver une place pour la séance unique du documentaire sur le rock band qui a marqué le 20 ème siècle et la musique !
Synopsis de The Beatles – Eight Days A Week
The Beatles, groupe de rock anglais des années 60 mondialement connu, a tout de même un parcours incroyable. De 1962 à 1966, vous saurez tout de leur ascension, de leur ressentis et de leurs tubes.
The Beatles – Eight Days A Week (Bande-Annonce)
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Mon avis détaillé sur The Beatles – Eight Days A Week
Le montage est un peu déroutant au tout début, car je n’avais pas bien saisi le point de vue que le réalisateur voulait nous montrer. Mais par la suite, lorsque les premières infographies arrivent, le fil conducteur est très simple et efficace : on suit chronologiquement la vie des rock stars du groupe, leur impact sur la société et sur le jeune public. Le parallèle avec les faits historiques était très intelligent et on avait le sentiment des artistes.
J’avais déjà vu un reportage sur le groupe, qui était très complet, mais j’ai quand même réussi à apprendre pleins d’infos. L’axe de narration était différent car ici centré sur leur médiatisation, via les concerts et apparitions publiques et leurs enregistrements studios.
On y rencontre des chanteurs-musiciens vraiment naturels, très humbles et surtout très drôles. Ils étaient bien entourés et couplé à leur talent créatif, on comprend leur succès, avec les hauts comme les bas.
Le rythme est bien dosé, avec les extraits de lives, qui retournent la tête par la folie de la foule en délire à chaque fois, qui s’apaise par les entretiens avec des personnalités, Paul et Ringo, qui nous touche par moment. Etonnant d’ailleurs, par le fait que Ron Howard n’a pas pour habitude de réaliser des documentaires musicaux, c’est bien réussi. Ce n’est pas vraiment ma génération, mais j’ai été embarqué par la curiosité d’en savoir plus sur ce groupe.
PS : à l’heure où j’écris au propre ces lignes, j’ai finalement reçu ma nouvelle-nouvelle carte de cinéma. De nouveaux articles ne vont donc pas tarder !
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