Paddington au Pérou

En cette Saint-Valentin, je mets les pieds dans une salle où je n’étais encore jamais allé, pour découvrir Paddington au Pérou !

Sony nous propose déjà le troisième opus avec le petit ourson, donc Paddington au Pérou devait sortir de sa zone de confort. D’ailleurs, c’est la première production européenne avec le logo Disney+ que je vois (le fameux investissement pour gratter des mois dans la chronologie des médias) Et ils s’en sont bien sortis !

En effet, on se retrouve dans une chouette pure aventure. Avec ce qu’il faut en caricature, car la cible reste avant tout la famille. C’est drôle, sans jamais être trop lourd. Et les rebondissements sont plus ou moins prévisibles mais comportent quelques surprises. De plus, tout est bien amené, avec parfois du répondant avec des élément placés plus tôt.

Aussi, le film, dans la lignée de la saga, comme dans le 2, délivre des messages de fonds toujours aussi mimis. Avec de bons sentiments simples mais bien racontés. Je pense notamment au final très touchant.

Ensuite, au niveau du casting, on peut retrouver Antonio Banderas qui s’amuse comme un fou. De même, c’est toujours un plaisir de voir Olivia Coleman, surtout dans une comédie. D’ailleurs, j’ai été agréablement surpris d’y découvrir Hayley Atwell, car je l’ai rarement vue dans ce registre. Bien qu’on ne la voit pas beaucoup.

Enfin, les VFX de Paddington au Pérou sont toujours à la hauteur. Les ours ont l’équilibre parfait entre réalisme et expressions faciales. Loin des visages neutres du Roi Lion. On s’attache totalement à des créatures en CGI. Quant au décor, ça tient la route, bien qu’on sente parfois les fonds en post-production.

En tout cas, à l’heure où j’écris ces lignes, un 4e opus est déjà annoncé. En espérant qu’ils n’en fassent pas trop…