Overlord

Dès notre arrivée pour la projection presse, on a été mis dans l’ambiance. Cosplayers en mode Overlord, photocall avec scientifique fou et en prime, une lithographie en tirage limité offerte !

Concernant le film, je dois dire que c’était une très bonne surprise. N’ayant vu que vaguement une bande-annonce par hasard, j’ai mis mon cerveau en mode ‘réception de fun‘. Ce que j’ai eu, mais pas que !

Pour le coup, c’est assez gore, les combats sont jouissifs, c’est bien rythmé. J’ai été agréablement surpris par le montage. Car ce genre de production se permet souvent un sur-découpage, bâclant les personnages et l’histoire. Ce n’est pas le cas ici puisqu’ils prennent le temps de raconter chaque étape. Donc avec des plans longs (parfois en plans-séquence), quitte a faire démarrer le fond de l’histoire assez tardivement. Et en revanche, pour le finir plus tôt que prévu.

Cela dit, Overlord ne s’évite pas quelques clichés parsemés et des simplifications narratives. Sans parler des jump scares qui se grillent à des kilomètres.

D’ailleurs, cocorico pour la seule actrice du film qui est française (Mathilde Ollivier) Malheureusement, elle n’a pas la même approche de jeu que le reste du casting. Elle reste très française, bien que ça soit peut-être le but.

Concernant la séance en 4DX, j’en avais parlé avant, je n’aime pas vraiment cette technologie. Elle marche pour quelques scènes ou plans, mais globalement ça me sort du film. J’ai eu le même sentiment ici aussi, mais au moins je n’ai pas eu à payer le supplément. Et ce n’était pas en 3D, donc dois-je appeler ça de la 2DX ?