

Titre : Novocaine
Réalisation : Dan Berk, Robert Olsen
Scénario : Lars Jacobson
Nationalité : Américain, Canadien, Sud-Africain
Casting principal
Compagnies
Synopsis
Nath a une maladie génétique, qui affecte son système nerveux, le rendant insensible à la douleur. Alors qu’il rencontre enfin la femme de sa vie, Sherry, celle-ci se fait kidnapper par des braqueurs. Nath n’hésite pas à braver ses peurs pour aller la récupérer, au péril de sa vie…
- Modifié le 21/04/2025
J’ai eu la chance de découvrir la bande-annonce de Novocaine lors de la séance de Noël de Paramount (pour Sonic 3). Cependant, je n’ai pas été convié à l’avant-première presse, donc je me rattrape à sa sortie en salle. Et au Grand Rex pour changer, dans la salle 5 que je n’avais encore jamais visitée !
C’est carrément fun et original. Bien que le début du film soit un peu long, car on se concentre sur l’installation de la relation entre les protagonistes. Sans doute pour contraster pleinement quand on passe à l’action d’un coup, sans sommation.
Comme on s’y attendait, le film est généreux dans l’ultra violence, mais divertissante. De plus, il propose des rebondissements plutôt inattendus et c’est plutôt drôle. D’autant que le concept, d’un homme qui ne ressent pas la douleur, tient vraiment jusqu’à la fin.
Certes, le rythme de Novocaine n’est pas toujours au rendez-vous ou alors il reste trop classique et donc prévisible. Néanmoins, le casting fait plaisir. Avec bien évidemment Jake Quaid qui commence à se faire une place sur grand écran, juste après Companion. La promotion du film est d’ailleurs très drôle. On retrouve aussi Amber Midthunder, découverte pour ma part dans Prey. Le duo fonctionne bien et les backgrounds de chacun s’intègrent bien. De plus, c’est le premier film où je peux apprécier la présence du fils de Jack, Ray Nicholson.
Bref, Novocaine est une comédie d’action qui assume son délire, reste cohérente et permet de passer un bon moment sans se prendre la tête.