Mission Impossible : Rogue Nation

Je me suis bien préparé pour une réception optimale de Mission Impossible Rogue Nation. À raison d’un par soir, j’ai revu tous les anciens volets de la franchise cinématographique !

Niveau histoire, Mission Impossible Rogue Nation se rapproche du 4^e épisode. Dans le sens où la section l’équipe doit faire son travail en dehors des clous et de prouver quelque chose que le gouvernement ne voyait pas.

Aussi, on n’a pas, contrairement à chaque volet, une scène-clé, avec une tension palpable et une prouesse technique. D’ailleurs, je n’ai pas le souvenir d’avoir vu le fameux atterrissage, à plat ventre au raz du sol.

De plus, la bande-annonce de MI5 nous vend une scène incroyable de Tom Cruise à l’extérieur d’un avion au décollage. Or, ce passage se situe directement dans l’introduction, sans plus de mise en scène. En fait, autant les trois premiers films ont chacun leur personnalité, autant depuis le 4^e, je ressens une légère hausse de normalisation (bien que dans le 4^e, on a la scène de la tour de Dubai et le fameux atterrissage).

Mise à part ça, ce 5^e opus reste un bon film d’action et garde la recette de la franchise. Ce qui se différencie par exemple des James Bond. Ravi aussi que ça soit la suite directe de Protocole Fantôme.

En tout cas, on ressent encore les cascades oldschool, le danger réel des situations. D’ailleurs, Tom Cruise est toujours crédible, en plus de paraître toujours aussi jeune.

Enfin, l’arrivée de Rebecca Ferguson dans le casting est réussi aussi. En effet, elle endosse le rôle de la femme forte, comme le fut Paula Patton précédemment. Dans Mission Impossible Rogue Nation, Elle a une vraie utilité et ne sert pas de bimbo (même si quelques plans peuvent nous le faire croire) Pareil pour Benji Dunn, qu’interprète Simon Pegg (qui se cache très bien dans Star Wars VII), qui dose parfaitement entre personnage à blagues et réel influence sur le héro.

Pour le petit plus, une surprise vous attend lors de l’introduction du logo IMAX !