Club Allociné Anora

Pour sa rentrée, le Club Allociné met la romance à l’honneur avec Anora. D’autant que c’est complètement dans le thème du nouveau cycle du Forum des Images. En effet, le cinéma lance son nouveau trimestre cinéphile avec “Refaire l’Amour”, qui compile notamment beaucoup de romcom.

C’est ainsi que Yoann Sardet nous a présenté la séance, bien qu’en y glissant quelques vannes toujours aussi amusantes. Dont une que j’avais faite juste avant à mon voisin Soupirs En Technicolor. Le rédacteur en chef d’Allociné nous a également fait le parallèle avec la rentrée précédente, qui officiait aussi avec la Palme d’Or, Anatomie d’Une Chute. Et que la tradition devrait continuer, ce que je valide totalement.

C’est surtout après Anora que le Club Allociné se matérialise, lors de la session de questions-réponses avec l’équipe. Étaient présent.e.s pour nous le réalisateur Sean Baker, ainsi que de l’actrice principale Mikey Madison. Le tout modéré par Maximilien Pierrette. De plus, les invité.e.s étant anglophones, c’est Pascale Fougère qui nous a fait la traduction.

Pour cette séance, j’avoue que les questions n’étaient pas folles. Heureusement que Yoan avait précisé qu’il ne fallait pas être gênant ou trop long… car ce fut souvent le cas. Aussi, beaucoup de questions portaient sur le travail de Sean. Donc Mikey a passé plus de temps à tenir le micro de Pascale la traductrice qu’à répondre à l’audience.

De plus, le fait qu’il y avait un temps de traduction durant cette séance, cela a pas mal pris sur le temps des questions. Donc il n’y en a pas eu tant que ça. D’ailleurs, une personne a attendu pour rien avec le micro dans l’assistance, car la session a été conclue brusquement.

En plus, les invités sont partis très vite. Je n’ai même pas pu avoir de selfies habituels, alors que j’avais réussi à speed run pour une fois. J’ai pu prendre en photo mon ami Le cinema de Thibault. Mais à cause de la vieillesse de mon tel, mon selfie avec le réal est floue. Sans parler de Mikey qui était déjà partie alors qu’on venait à peine d’arriver près de l’écran.