Le Grand Écran Large : Sucker Punch

Pour le coup, bien avant la projection Grand Écran Large, le débat autour de Sucker Punch avait commencé sur le discord.

Comme pour la précédente projection, la soirée a commencé par un apéro tranquille. J’ai d’ailleurs discuté avec deux gars sympas.

Cette fois-ci, c’est Geoffrey qui animait la séance, où c’était surtout Déborah et Judith qui se bagarraient. Mathieu quant à lui faisait office de suisse. Ainsi, tout ce beau monde a introduit rapidement le film, pour annoncer la couleur.

Quant à la projection, on a eu la version cinéma, en VOSTFR, sur un DCP classique. J’ai appris à ce moment-là, qu’il existe une version longue (mais ce soir il s’agissait de la version cinéma)

Après ça, l’équipe est revenue pour débattre, notamment sur le sens du film. Pour le coup, Mathieu et Judith ont clairement mis les mots sur ce que je ressentais. Cela dit, je ne rejette pas totalement quelques arguments de Déborah.

Le débat de ce Grand Écran Large s’est articulé principalement autour de si oui ou non Sucker Punch était un hommage à la culture geek. Et si oui ou non, il était féministe. Au passage, j’ai au passage appris quelques infos autour du film.

J’ai beaucoup aimé les propos de Geoffrey quant à l’intérêt de ce genre de débat. En effet, il affirmait que c’est le principe même du cinéma, d’aimer ou pas un film. Chacun a sa vision et c’est normal, c’est ce qui fait la richesse de la cinéphilie. Sinon, comme il le disait, on aurait une sorte de dictature cinéphile sans intérêt.

À la fin de cette partie, le public a pu intervenir à travers un petit questions-réponses. Pour ma part, le temps que je formule correctement ma question dans ma tête, c’était déjà fini.

Enfin, l’audience a pu exprimer son avis à travers un petit quiz humoristique, comme pour Signes. Le seul bémol que j’ai à redire sur ça, c’est qu’il est dur de choisir le meilleur ou le pire film d’un réalisateur, quand on n’a pas encore tout vu.

En tout cas, grâce au Grand Écran Large, je suis très content d’avoir revu Sucker Punch en salle, que j’affectionne finalement toujours. À la sortie de la salle du Club de l’Étoile, j’ai pu discuter avec des cinéphiles et même poser ma question à Geoffrey. Hâte de revenir pour Cliffhanger en mars !